Le nouveau gouvernement MR–Les Engagés de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB), formé après les élections de 2024, a entrepris une série de réformes de l’enseignement qui suscitent une vive contestation du côté des enseignants. Suppression des 7ème années dans le qualifiant, gel du tronc commun, coupes budgétaires et refonte du statut des enseignants : autant de mesures décidées au nom de l’« efficacité » et de la rationalisation, mais dénoncées par une large partie de la communauté éducative comme autant d’attaques idéologiques contre l’école publique. Le 26 novembre dernier, une grève générale paralysait les écoles francophones pour protester contre des mesures jugées « de nature à mettre en péril l’enseignement qualifiant ». Quelques mois plus tard, les critiques convergent : ces réformes d’inspiration néolibérale aggravent les inégalités sociales, précarisent les enseignants et compromettent le projet d’une école démocratique au service de l’intérêt général.
Couper dans le qualifiant : moins d’options, moins d’élèves finançables
Parmi les premières mesures phares figure un coup de rabot sur l’enseignement qualifiant (technique et professionnel). Trois restrictions majeures visent les élèves plus âgés et les filières professionnelles.
Premièrement, dès la rentrée 2025, il sera interdit à tout élève majeur ayant interrompu sa scolarité pendant au moins un an de se réinscrire en 3ème ou 4ème secondaire général ou technique. La ministre de l’Éducation, Valérie Glatigny (MR), justifie cette décision par le souci d’orienter ces jeunes vers des structures « plus adaptées », comme l’enseignement pour adultes, estimant qu’il n’est « ni bénéfique pour eux-mêmes, ni pour les enseignants, ni pour les autres élèves »[1] de les maintenir en classe ordinaire face à un trop grand décalage d’âge. Les critiques pointent cependant un risque réel d’évaporation de ces décrocheurs, à cause d’un manque d’alternatives crédibles. Le PS avertit que « rien ne garantit la création des structures nécessaires à leur accompagnement ».[2]
Deuxièmement, le gouvernement s’est attaqué à la 7ème année de l’enseignement secondaire dans les filières qualifiantes. À la base, une 7ème année permettait soit à des étudiants du professionnel d’obtenir le CESS (certificat d’études secondaires supérieures), soit à des diplômés d’un certain domaine de se spécialiser en réalisant une année complémentaire. Désormais, l’accès à ces 7ème années est drastiquement limité. Un élève ayant déjà un diplôme de l’enseignement général ou technique ne pourra pas entamer une 7ème année professionnelle pour apprendre un métier manuel (sauf exception). Du côté de la technique de qualification aussi, la 7ème année est désormais supprimée pour tous ceux qui possèdent déjà un certificat de qualification à l’issue de la 6ème.[3] Là aussi, seules trois orientations font figure d’exception : opticien, prothésiste dentaire et assistant en prévention/sécurité, des formations où l’aboutissement du cursus nécessitait la 7ème année.
Ces restrictions sur les 7ème années traduisent une vision utilitariste de l’école : éviter les “doublons” et les parcours prolongés jugés inutiles. Pour le MR, il s’agit d’empêcher qu’un élève déjà diplômé « squatte » une année supplémentaire aux frais de la collectivité, surtout s’il existe des formations similaires en promotion sociale ou en apprentissage (IFAPME). Mais les pédagogues soulignent que ces passerelles jouaient un rôle d’ascenseur social et de deuxième chance. Par exemple, un jeune diplômé de l’enseignement général qui ne trouve pas sa voie pouvait, via une 7ème professionnelle, obtenir une qualification pratique (comme un CESS en hôtellerie complété d’une spécialisation en sommellerie). En fermant cette porte, on risque de priver certains élèves d’une diversification de compétences qui pouvait faciliter leur insertion. De plus, renvoyer ces jeunes vers l’enseignement pour adultes ou les centres de formation en alternance n’est pas neutre : ces filières parallèles sont payantes et n’ouvrent pas les mêmes droits sociaux.
Malgré la promesse de la ministre de garantir l’accessibilité de ces transitions, « en l’état actuel de la législation, un élève inscrit en promotion sociale n’a pas le droit de demander l’allocation d’études » et doit payer son inscription – aucune disposition n’a encore été prise pour compenser cela.[4] Derrière l’apparence d’une simple rationalisation, se profile donc le spectre d’une exclusion scolaire accrue pour les publics les plus précaires, qui risquent d’abandonner face à ces obstacles financiers.
Troisièmement, le coup de grâce au qualifiant vient d’une coupe budgétaire linéaire dans ses effectifs. Le budget 2025 de la FWB prévoit une réduction de 3 % des moyens alloués aux postes d’enseignants dans l’ensemble des écoles techniques et professionnelles. Le gouvernement présente cette mesure comme un « mal nécessaire » pour inciter les établissements à regrouper les classes trop peu remplies. Il souligne qu’en FWB, près de 2 700 options d’études qualifiantes comptent moins de 10 élèves et que de nombreux doublons existent dans un même bassin géographique. En augmentant légèrement le nombre d’élèves par classe, l’exécutif dit vouloir pousser les écoles à se spécialiser et à mutualiser les filières peu populaires, plutôt que de maintenir à tout prix un éventail pléthorique d’options. Officiellement, « les mesures prises ne changeront en rien [notre position de tête en matière de financement] car elles touchent moins de 5 % du budget total de l’enseignement qualifiant » assure le MR, rappelant que le qualifiant coûte en moyenne 10 000 € par élève et par an, bien plus que l’option générale.[5]
Le message du gouvernement est clair : on dépense déjà beaucoup pour un système peu performant, l’heure est aux économies et à la rationalisation. Sur le terrain, cependant, cette économie de 3 % est vécue comme un coup de massue : « 3 enseignants (du qualifiant, NDLR) sur 100 vont perdre leur emploi et le nombre d’élèves par professeur va augmenter dans toutes les écoles », s’alarme le chef de groupe socialiste Martin Casier. Car, pour l’opposition, contrairement à l’argument de la ministre, cette ponction s’applique à tous les établissements, y compris ceux dont toutes les sections sont bien fréquentées, et pas seulement aux quelques « options exotiques » que l’on pourrait éventuellement fusionner.[6] Même dans les filières en pénurie de main d’œuvre (construction, soins, etc.), on supprime des heures de cours : moins de classes, moins d’enseignants et des groupes plus chargés, au détriment de l’accompagnement des élèves. « La diminution des moyens alloués à l’enseignement qualifiant met en péril un secteur vital (…). Ces économies, qui se traduisent par des suppressions de postes et des ressources insuffisantes, compromettent à la fois la qualité des apprentissages et l’égalité des chances », résume Ecolo dans un communiqué cinglant.[7] Là encore, ce sont les élèves les plus fragiles qui trinqueront : ceux en difficulté risquent d’être les premiers touchés par la diminution du suivi pédagogique, tandis que certains jeunes cherchant une formation spécifique devront parfois parcourir des dizaines de kilomètres vers un autre centre, ou renoncer si leur option locale ferme.
Tronc commun gelé et gratuité sacrifiée : l’égalité des chances en recul
En parallèle de ces mesures ciblées sur le secondaire supérieur, le nouveau gouvernement a opéré un coup de frein brutal sur des réformes emblématiques de la précédente législature, pourtant pensées pour réduire les inégalités scolaires. La mise en œuvre du tronc commun jusqu’à 15 ans, pilier du Pacte pour un enseignement d’excellence, est ainsi mise sur pause. Annoncé comme une révolution pédagogique pour gommer la hiérarchie entre filières (en prolongeant jusqu’en 3ème secondaire un curriculum commun à tous les élèves, sans orientation précoce), le tronc commun devait progressivement s’installer d’ici 2027. Or, la ministre Glatigny a décidé d’ajourner son déploiement futur en évoquant la nécessité de « prendre la mesure de ce train infernal de réformes » qui submergerait le terrain.[8] Autrement dit, trop de changements tueraient le changement. En filigrane, toutefois, transparaît une divergence idéologique : le MR n’a jamais été un fervent partisan du tronc commun intégral, qu’il juge trop coûteux et insuffisamment différencié. En juin 2024, lors des négociations, les libéraux et Les Engagés ont obtenu de pouvoir « évaluer » cette réforme – un euphémisme pour entamer un gel complet du travail du gouvernement précédent. Les élèves de 14 ans continueront donc d’être orientés entre général, technique ou professionnel comme aujourd’hui, et ce tri précoce – marque de fabrique du système scolaire belge – perdurera. Pour de nombreux pédagogues, ce choix est synonyme de reproduction des inégalités.
En effet, toutes les études montrent que la Belgique francophone reste l’un des pays de l’OCDE où le décrochage social est le plus fort : les performances scolaires y sont fortement corrélées à l’origine socio-économique et une proportion importante d’élèves sont orientés vers des filières ségrégées dès le début de l’adolescence. Le Pacte d’excellence visait justement à casser ce déterminisme en retardant l’orientation et en offrant un socle commun de connaissances et compétences à tous les élèves jusqu’en 3ème secondaire. En mettant ce chantier entre parenthèses, le gouvernement envoie un signal négatif aux partisans d’une école plus juste.
Autre recul significatif : la gratuité scolaire promise est battue en brèche. La législature précédente avait amorcé la gratuité des fournitures scolaires obligatoires, déjà effective de la 1ère maternelle à la 3ème primaire, et prévoyait de l’étendre année par année dans le fondamental. Cette extension est suspendue. « Mettre à mal la gratuité scolaire et augmenter les coûts pour les familles » fait partie des griefs majeurs formulés par l’opposition.[9] Dans un contexte socio-économique tendu, où le coût de la vie pèse sur les ménages précaires, ce choix budgétaire est perçu comme un renoncement à l’idéal d’égalité des chances proclamé dans les discours officiels.
Bien entendu, le gouvernement MR–Les Engagés s’est défendu de vouloir détricoter l’école démocratique, arguant qu’il faut d’abord “stabiliser” le système scolaire avant d’y ajouter de nouvelles réformes.
Vers la fin du statut des enseignants : précarisation en vue
Le volet sans doute le plus explosif de l’agenda gouvernemental est la réforme du statut des enseignants. Annoncée comme un « gros chantier » à concrétiser d’ici la fin de la législature, celle-ci vise à supprimer la nomination à vie des futurs professeurs pour la remplacer par un contrat à durée indéterminée (CDI).[10] En clair, fini le régime de fonctionnaires statutaires pour la nouvelle génération d’enseignants : leur relation de travail relèvera du droit privé, via un contrat stable mais sans le statut protecteur actuel.
Les enseignants déjà nommés conserveraient leurs droits acquis, insiste le gouvernement, et ceux qui sont en cours d’engagement auront le choix d’opter ou non pour le nouveau système.[11] La réforme ne concernera donc que les nouveaux diplômés issus des futurs Masters en enseignement, à partir de la rentrée 2027. Le MR et Les Engagés présentent cette mutation comme une avancée : selon eux, le système actuel laisse trop longtemps les jeunes profs dans la précarité (enchaînant les remplacements temporaires avant d’obtenir une nomination définitive). Offrir un CDI d’emblée permettrait de « stabiliser les jeunes enseignants dès le début de leur carrière, rendant le métier plus attractif ». L’exécutif jure qu’il n’est pas question de faire des économies sur le dos des profs, mais de moderniser un statut jugé rigide, tout en harmonisant les règles entre réseaux pour faciliter la mobilité des enseignants d’une école à l’autre.
Ces promesses sont loin de rassurer les syndicats, vent debout contre ce qu’ils perçoivent comme une précarisation programmée du personnel éducatif. Historiquement, le statut de fonctionnaire a été conçu pour protéger les enseignants de l’arbitraire et des pressions politiques ou religieuses.[12] Être nommé à titre définitif confère une indépendance professionnelle. En contrepartie, le statut impose aux enseignants des devoirs de neutralité et permet des sanctions en cas de manquement grave – ils ne sont nullement « intouchables », contrairement à une idée reçue. Supprimer ce statut, aux yeux de nombreux observateurs, revient à fragiliser l’école publique en la livrant aux logiques managériales. Par ailleurs, le gain budgétaire de cette réforme reste hypothétique, voire nul. Cité par la Revue Politique, Adrien Rosman, représentant CNE (enseignement libre) livre que « supprimer les nominations coûterait entre 500 millions et 1 milliard d’euros à la FWB. Ce projet n’est donc pas économique, mais idéologique… ».
Le Gouvernement, qui se targue d’être le garant d’une gestion saine des deniers publics, semble prêt à assumer ce surcoût pour mener à bien sa réforme, signe que l’enjeu est ailleurs : flexibiliser la gestion des ressources humaines dans l’école. Les syndicats n’entendent pas laisser faire.
Effectivement, à peine dévoilée, la réforme du statut a provoqué un appel aux futures mobilisations. Et celles-ci ont bien lieu depuis le mois de novembre 2024.
Face à ces questions, la majorité campe sur ses positions et temporise : la concertation aura lieu, promet-elle, et l’échéance de 2027 laisse le temps de peaufiner le modèle. Il n’en demeure pas moins que le lien de confiance est rompu avec une partie du monde enseignant, dans un contexte de pénurie de profs jamais vu. Alors que 40 % des jeunes enseignants quittent le métier dans les cinq premières années (victimes de burnout, de bas salaires, ou d’une perte de sens), le signal envoyé pourrait décourager davantage les vocations au lieu de les stimuler.[13]
Une vision élitiste aux conséquences sociales lourdes
Au vu de l’ampleur de ces mesures, difficile de ne pas y voir les contours d’un projet néolibéral assumé pour l’enseignement. La majorité MR–Engagés avance masquée derrière le vocabulaire de la « modernisation », de la « responsabilité » et de la « maîtrise budgétaire », mais ses décisions s’alignent avec une logique élitiste et austéritaire. Il s’agit de gérer l’école comme on gère une entreprise, en réduisant les coûts et en recentrant la mission sur un « cœur de métier » minimaliste : instruire au moindre frais. Tout ce qui relève de la remédiation sociale ou du service public solidaire tend à être minimisé, externalisé ou reporté. Les élèves “décrocheurs” sortent du radar de l’école obligatoire, les étudiants diplômés en reconversion sont poussés vers d’autres opérateurs, les filières peu rentables sont fermées, les aides à la gratuité suspendues. Même le réseau d’enseignement officiel de la FWB, pourtant directement géré par l’État, subit un lourd tribut : ses dotations de fonctionnement ont été diminuées de 10 %, soit 17 millions d’euros en moins par an pour payer les surveillants, le chauffage ou les fournitures.[14]
Le choix de recentraliser les moyens sur certains réseaux ou filières “d’excellence” tout en abandonnant d’autres pans du système rappelle des politiques de démantèlement du service public menées ailleurs sous l’égide de l’austérité. Pour le gouvernement, ces décisions seraient au contraire dictées par l’urgence de redresser un système en « crise ». Il est vrai que l’enseignement francophone accumule des signaux inquiétants : résultats médiocres aux évaluations internationales, fossé entre élèves forts et faibles, pénurie d’enseignants et salles de classe délabrées. Mais la réponse apportée semble aller à l’encontre du but recherché.
Moins d’enseignants, moins de moyens, plus de sélection précoce : peut-on vraiment “redresser” l’école en l’appauvrissant ? Nous nous permettons d’en douter et de rappeler que les pays aux systèmes performants sont souvent ceux qui investissent dans l’inclusion, la formation des profs et le soutien aux plus vulnérables – à rebours des coupes budgétaires actuelles.
Enfin, comment ne pas relever la dimension idéologique de ce tournant ? En affichant sa volonté de « restaurer l’autorité » et de « responsabiliser » les acteurs de l’école, la majorité actuelle s’inscrit dans une tradition libérale-conservatrice qui promeut l’excellence pour quelques-uns au détriment de l’égalité pour tous. À l’inverse, les politiques de soutien universel – réduction des frais scolaires, investissements massifs dans les bâtiments, maintien de petites classes pour un suivi personnalisé – sont ajournées ou ignorées.
Cette orientation fait écho à ce qui s’est passé dans d’autres secteurs publics (transports, énergie, santé…) où des coupes budgétaires et des réformes de « flexibilisation » ont souvent précédé une dégradation du service rendu et une ouverture aux acteurs privés. L’enseignement n’échappe pas à cette tendance : faute de moyens, les écoles chercheront des financements ailleurs, accentuant la concurrence entre établissements et la logique du « chacun pour soi ». Face à cette vision, la contestation s’organise. Outre les syndicats enseignants, on retrouve côte à côte dans la rue les partis de l’opposition – PS, Ecolo et le PTB – mais aussi les fédérations de pouvoirs organisateurs des écoles (y compris l’enseignement catholique et officiel) qui d’ordinaire sont peu enclines à descendre côte à côte dans l’arène politique. Tous dénoncent un manque de concertation flagrant et une trajectoire dangereuse pour l’avenir de l’école.
[1] « Réforme de l’enseignement qualifiant : stop à la désinformation », Site officiel du MR, 26/11/2024, https://www.mr.be/reforme-de-lenseignement-qualifiant-stop-a-la-desinformation/
[2] « Le budget 2025 signé MR/Les Engagés aura des conséquences graves pour l’éducation », Site officiel du PS, 14/11/2024, https://www.ps.be/budget-enseignement-belgique-mr-engages
[3] « Actu 2025 : quels changements dans l’éducation ? », Inforjeunes Bruxelles,14/02/2025, https://ijbxl.be/etude_formation/actualites-2025-quels-changements-dans-lenseignement-secondaire/
[4] Idem
[5] « Réforme de l’enseignement qualifiant : stop à la désinformation », Site officiel du MR, 26/11/2024, https://www.mr.be/reforme-de-lenseignement-qualifiant-stop-a-la-desinformation/
[6] « Le budget 2025 signé MR/Les Engagés aura des conséquences graves pour l’éducation », Site officiel du PS, 14/11/2024, https://www.ps.be/budget-enseignement-belgique-mr-engages
[7] « Ecolo rappelle qu’une école gratuite et démocratique est la seule chance des enfants qui n’en ont pas, et que celle-ci doit se construire avec les enseignants », Site officiel d’Ecolo, 27/01/2025, https://ecolo.be/actualites/ecolo-rappelle-quune-ecole-gratuite-et-democratique-est-la-seule-chance-des-enfants-qui-nen-ont-pas-et-que-celle-ci-doit-se-construire-avec-les-enseignants/
[8] « Enseignement : il faut pouvoir prendre la mesure de ce train infernal de réformes, déclare Valérie Glatigny », RTBF, 08/02/2025, https://www.rtbf.be/article/enseignement-il-faut-pouvoir-prendre-la-mesure-de-ce-train-infernal-de-reformes-declarevalerie-glatigny-pour-justifier-le-gel-du-tronc-commun-11501157
[9] « Le budget 2025 signé MR/Les Engagés aura des conséquences graves pour l’éducation », Site officiel du PS, 14/11/2024, https://www.ps.be/budget-enseignement-belgique-mr-engages
[10] « La ministre Glatigny veut que le CDI dans les enseignants soit d’application à partir de 2027 », L’Écho, 27/09/2024, https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/general/la-ministre-glatigny-veut-que-le-cdi-pour-les-enseignants-soit-d-application-a-partir-de-2027/10566313.html
[11] « Quel futur statut pour les enseignants ? On vous explique tout, Site officiel des Engagés », 23/11/2024, https://www.lesengages.be/actualite/quel-futur-statut-pour-les-enseignants-on-vous-explique-tout/
[12] Adrien RONSMAN, « Supprimer le statut des profs augmentera-t-il le nombre d’enseignant·es ? », Revue Politique, https://www.revuepolitique.be/supprimer-le-statut-des-profs-augmentera-t-il-le-nombre-denseignant
[13] « 40% des enseignants quittent le métier dans les 5 premières années », SIEP Formations, https://formations.siep.be/actus/40-des-enseignants-quittent-le-metier-dans-les-cinq-premieres-annees/
[14] « Le budget 2025 signé MR/Les Engagés aura des conséquences graves pour l’éducation », Site officiel du PS, 14/11/2024, https://www.ps.be/budget-enseignement-belgique-mr-engages